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Le vendredi 7 avril, pour commencer son exposé sur le thème "Nos enfants et les écrans", Bruno Devauchelle nous a proposé un voyage dans le temps pour nous dire que la fonction première des écrans c'est d'être un support d'images.
Au Moyen-Age, les vitraux et bas-reliefs des églises étaient déjà des images qui se voulaient supports éducatifs pour les non-lecteurs.
Ensuite est venu le livre.
Plus tard, avec l'apparition des images animées les films ont été utilisés comme support de divertissement mais aussi comme supports de propagande.
Puis sont venus les magnétoscopes, le Minitel, ....
Aujourd'hui, les formes multiples des écrans regroupent tous ces aspects : éducation, loisir, information / désinformation, force de vente, ...
Il appartient donc aux parents et éducateurs d'apprendre à faire le tri (pour eux-mêmes et pour les enfants) et de regarder au-delà des écrans pour voir ce qu'il y a derrière.Le débat qui a suivi a été vite lancé car le sujet interpelle beaucoup. Les questions diverses et variées ont permis d'aborder les aspects éducatifs, les transformations sociétales, le rôle de la parentalité et des enseignants, les problèmes de santé et d’addiction, sans oublier l'aspect écologique de la multiplication de ces supports et de la consommation énergétique induite.
Un grand merci à ceux qui ont relayé l'invitation à cette soirée en dehors du secteur car nous avons eu des visiteurs qui venaient de Lencloitre, Latillé, Saint-Benoît, Vivonne et Migné-Auxances.
Un grand merci aussi à Bruno Devauchelle pour la qualité de son intervention et pour la mise à disposition du diaporama présenté le 7 avril dernier. Vous pouvez le consulter en cliquant sur les liens ci-dessous. Celui-ci ne contient pas les nombreux commentaires explicatifs faits par l'intervenant mais vous trouverez à la fin de nombreuses références pour approfondir le sujet.
Télécharger « Nos enfants et les écrans.pdf » 1,8 Mo Télécharger « Nos enfants et les écrans.ppt » 4,6 Mo Pour compléter ce diaporama, nous vous conseillons cette vidéo de 27 minutes d'une conférence de Michel Monzée :
https://www.youtube.com/watch?v=LQxE36s9RHk
Le coin des parents et des éducateurs :
- Un poster pour avoir quelques repères : Télécharger « poster-Serge-Tisseron.pdf » 7,5 Mo
- les 4 PAS de Sabine Duflo : https://www.youtube.com/watch?v=OVht9ZP-tT4
- la mise en ligne des photos
Des liens trouvés sur le site de la CAF :
- Enfants et écrans : où sont les limites ?
- Comment accompagner vos enfants sur Internet ?
- Apprendre sur Internet grâce aux MOOC
- Cyber-harcèlement : la vigilance s'impose
Éléments de réponses à la question : Quel moteur de recherche conseillez-vous ?
- Un moteur français dont le slogan est : Sécurité, confidentialité et respect de la vie privée : https://fr.wikipedia.org/wiki/Qwant
- Avec le lien suivant, vous irez vers la version junior de Qwant. Celle-ci est recommandée par l’Éducation Nationale : https://www.qwantjunior.com/
- Un autre moteur recommandé par les amateurs de logiciels libres dont le slogan est : Le moteur de recherche qui ne vous espionne pas. : https://duckduckgo.com/
Autre site (envoyé par une adhérente) :
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Pendant la durée des travaux de la LVG, le chemin des castors était fermé entre la rue Camille Hablizig et la rue de la Grande Vallée..
Il y a aussi le sentier de la Grande Vallée qui passe par là.
Des pancartes l'annonçaient et indiquaient que cela allait durer jusqu'en 2014.
Au cours de cette période, les randonneurs, vététistes et autres amoureux de la nature étaient invités à passer par la route départementale.
Cela fait un certain temps qu'un pont permet de reprendre ce chemin à nouveau mais ...les pancartes sont toujours là. Pourquoi ?
Photo du pont qui enjambe la LGV depuis un certain temps :
Suite à ce constat, nous en avons parlé à plusieurs élus.
L'explication c'est que ces panneaux ont été posés par COSEA pour la durée du chantier mais cette entreprise a oublié de les enlever à la fin des travaux.
L'information a été transmise aux services techniques qui ont procédé à l'enlèvement de ces panneaux.
Ainsi, les promeneurs ne seront plus détournés et peuvent profiter de ce beau sentier paisible.
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Pour commencer la soirée, Hélène Heintz Shemwell nous a présenté un diaporama commenté très intéressant sur son voyage sur site en décembre 2012.
Pour ceux qui n'ont pas pu venir (et pour ceux qui n'ont pas tout retenu), voici un lien vers un site où vous pouvez revoir ce document :
Fukushima visite guidée en zone dévastée
Ensuite, nous avons pu échanger avec l'intervenante et Jacques Terracher qui est membre de la C.L.I. (Commission Locale d'Information) de la centrale de Civaux.
Il a pu nous donner les dernières informations concernant les fissures répertoriées dans le bâtiment N°1.
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vendredi 7 avril à 20h30 : conférence-débat "Nos enfants et les écrans" à la MTL
Cliquez sur l'image pour l'agrandir.
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Le 11 mars 2011, le Japon était touché par un énorme Tsunami.
Celui-ci a engendré un des plus graves accidents nucléaires connus à ce jour.
Pour marquer ce sixième anniversaire, nous vous invitons à une soirée d'information et de discussion autour de cet événement, de ses suites et de l'énergie nucléaire en général avec la présence relativement proche de la centrale de Civaux.
Cliquez sur l'image pour visualiser l'affiche :
Ci-dessous, un bref descriptif du contenu de la première intervention :
Présentation de mon voyage à Fukushima.
En décembre 2012, 1 an et 8 mois après l’accident nucléaire.
Le 15/12/2012 a eu lieu dans la ville de Koriyama une rencontre internationale entre l’ Agence Internationale de l’ Energie Atomique et le gouvernement japonais. Une délégation française a décidé de s’y rendre, non pas pour participer à cette rencontre officielle, mais pour apporter son soutien au peuple japonais victime de l’accident nucléaire.
Nous sommes donc allés dans le district de Fukushima avec un groupe international d’une cinquantaine de personnes, en bordure de la zone 3 (au-dessus de 50 mSv/an) et dans la zone 2 (au-dessus de 20 mSv/an) délaissée par des milliers d’habitants. Certains sont relogés dans des containers aménagés, placés sur des parkings goudronnés. D’autres ont fui la région..
Puis d’autres rencontres bouleversantes, avec des maires de la zone évacuée et un groupe de femmes, dont certaines avaient déjà subi la bombe d’Hiroshima…
Mais aussi des constatations inquiétantes :
- des tonnes de terre contaminée dans des sacs entassés.
- des mesures de radioactivité falsifiées,
- des zones de maraîchage abandonnées, car impropres à la culture, etc.
Parallèlement à la description des faits constatés en 2012, nous vous présenterons la situation actuelle dans cette région du Japon, pour voir comment elle a évolué ces dernières années.Un article paru sur le site de la Nouvelle République de ce samedi 11/03/2017 à 5:30 :
Et un autre paru à 5:38 :
article sur le site de la Nouvelle République
Jacques Terracher pourra nous en dire plus vendredi prochain.
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